Le cimetière du Champ du Poteau, dit ‘‘ancien cimetière’’, situé rue de l’Atlantique.
Le cimetière du Champ de la Croix, dit ‘‘nouveau cimetière’’, situé rue de la Libération, à la sortie du bourg, en direction du Grand-Breuil.
Les emplacements se vendent à suivre. Il n’est pas possible de choisir sa place.
Tarifs
30 ans | 50 ans | |
Concession temporaire de 2m x 1m | 90€ | 150€ |
Pour inhumer les urnes ou les cendres des défunts |
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Colombarium | 300€ | 400€ |
Espace cynéris (cave-urne) | 50€ | 80€ |
Rosier | 50€ | 80€ |
Jardin du souvenir | gratuit |
Les cimetières sont des lieux de souvenir et de recueillement pour les proches des défunts. La municipalité de Rouillé s’efforce d’entretenir et d’embellir du mieux possible ces lieux.
Depuis 2017 les cimetières de Rouillé sont tous entretenus sans produits phytosanitaires pour préserver la santé des agents et des visiteurs, pour réduire la pollution des sols, de l’eau et de l’air, et favoriser la biodiversité.
Pourquoi avoir abandonné les produits phytosanitaires ?
Depuis janvier 2017, toutes les collectivités locales ont l’interdiction d’utiliser des produits phytosanitaires comme les désherbants, fongicides et insecticides, pour entretenir les espaces publics tels que parcs, forêts, voiries, espaces verts de toutes sortes.
Cet objectif “zéro phyto” a été inscrit dans la loi de transition énergétique pour la croissance verte.
La commune de Rouillé avait déjà anticipé, et entamé ce processus dès 2009. En adhérant à la charte Terre Saine, la commune a éliminé l’utilisation des produits nocifs en appliquant le « zéro phyto » depuis 4 ans déjà. A ce titre, elle a obtenu son 4ème papillon en juin 2017, avec la mention spéciale « zéro produits phyto.
Qu’est-ce que cela change ?
Le verdissement progressif des allées, trottoirs et voiries, modifie l’aspect des cimetières. Des plantes sauvages apparaissent un peu partout. Cette période transitoire ne peut être évitée mais la commune met tout en œuvre pour la réduire.
La démarche retenue, plus durable et plus économique, consiste :
Les herbes ne sont pas « mauvaises » : elles doivent retrouver leur place dans l’espace urbain afin de permettre le développement d’une faune et d’une flore plus riches.
L’arrêt des pesticides nécessite d’accepter de changer notre regard, et considérer la présence du végétal dans les allées, non comme une absence d’entretien, mais comme le résultat voulu d’une nouvelle gestion.
Accepter quelques herbes, c’est protéger notre environnement et notre santé, donc notre futur.
Si vous nous aidiez ? Si vous participiez ?
Association française d’information funéraire